Maria Clark
    • du 22 Mars 2006 au 15 Avril 2006
  • Née en Angleterre en 1968, Maria Clark vient très tôt vivre en France et se forme aux arts plastiques, au cinéma, à la danse contemporaine, et au métier de comédienne qu’elle pratique une dizaine d’années. Une réflexion esthétique, validée par un DEA d’esthétique et sciences de l’art obtenu à la Sorbonne en 1995, vient insuffler une nouvelle orientation de travail, une démarche artistique plus personnelle avec écritures et arts visuels.
  • Portraits, corps, territoire(s) et frontières, exil et mémoire, sont les thématiques récurrentes de son travail.
  • Ses installations précédentes : Palimpsestes (Octobre 2005) : les strates du temps, Gens de Belleville, mon voyage… (Mai 2003) : la territorialisation des corps. Street Symphony (Mars 2003) : musicalité des langues et de la rue. Diaporama (Janv. 2002) : Passé/ présent.
  • Elle a réalisé Anatole (du pays des pierres) (Févr. 2003 ) film en Super 8 sur l’Arménie, l’exil ; la mémoire et l’oubli et En compagnie de Clément Lépidis… (Janv. 2002), Documentaire vidéo. Depuis avant 1997, elle travaille au sein de compagnies, théâtre et danse contemporaine, à Paris, Londres et Montpellier. Elle a notamment été interprète en 2002 dans le film de Nora Martyrosyan « 6 visites », production du Fresnois, studio national des arts contemporains, Dom Juan mis en scène par Daniel Mesguich au Théâtre de l’Athénée. Mais également, entre 1995 et 1999 pour Nicolas Frize, compositeur : Chronique musicale (duo chanté avec un violon) ; Le Flux, la coupure et le suspension ; le Chant de la chair, etc.
  • Elle a écrit  : Quand j’étais un ange à Denehurst street, (2005) illustré par Cécile Mury, La Danseuse de cire, (2003), Belleville des vivants, contes et chroniques, (2003), tous édités à La plâtrière éditions.
  • Projet en résidence à la Métive :
  • Printemps 2006
  • Afrique, le corps territoire
  • Mortroux
  • Le mur d’en face, installation (toile peinte, son et vidéo)
  • Le mur d’en face est ce mur qui sépare deux espaces. Il les sépare, mais surtout il les crée. Il crée l’idée même de territoire. Dans cette installation, il est question de flux migratoire et de territorialisation des corps, ces corps transportables de chacun. Il y est question d’espace.
  • Un espace scindé par un mur ; un obstacle à la fluidité du mouvement de l’homme. Une frontière contre laquelle certains trouvent la mort.