Catherine Vallon
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- du 01 Janvier 2004 au 01 Février 2004
- Catherine Vallon est née 1963 en Bourgogne. Elle commence son apprentissage de la scène en suivant les ateliers du Théâtre de Bourgogne à Dijon, puis du Cours Florent à Paris. Elle se forme en participant à différents stages et elle rencontre des metteurs en scène tels que : Marc FRANÇOIS, Bruno MEYSSAT, Claude REGY…
- Dès 1993 elle crée Par moi et par voi d’après A. ARTAUD, et en 1994 l’écolier assassin, spectacle de Clown.
- En 1994 elle rencontre Bruno MEYSSAT, et joue dans ses spectacles : Sonatine, Orage D’A.STRINDBERG, Pièces courtes de S.BECKETT.
- En 2000 elle crée le spectacle Le genévrier contes de Grimm ; en 2002 Les Armants ; en 2004 La princesse morte d’A.POUCHKINE.
- Depuis octobre 2005, elle est en résidence à l’anis GRAS, où elle mène un travail de recherche et de création : L’errant des rangs, Des rangées (Septembre 06 et en avril 07).
- En novembre 2006, accueillie en résidence à la Grande Halle de la Villette, elle crée L’errant des rangs, éloge de notre insoumission, étape n° 4.
- Son spectacle Des rangées est joué en octobre 2007 au Théâtre de l’Echangeur, Bagnolet.
- Depuis 2007, elle donne des ateliers à la clinique psychiatrique de La Borde, et crée des spectacles : Qui va là-bas (2007), Passions, dépassions (2008) .
- Automne 08, elle est en résidence au théâtre de l’Institut Marcel Rivière, hôpital psychiatrique, pour travailler autour de Des rangées ainsi que sur son prochain projet :Dépassions, la course des perdus.
- Au printemps 09, elle est en résidence au Théâtre du Hublot, Colombes, pour travailler à une première étape de la création de Dépassions, la course des perdus, adaptation libre de la tragédie d’Andromaque de Jean Racine.
- La compagnie Le Dithyrambe est implantée depuis huit ans en Île-de-France, fondée par Catherine VALLON pour donner lieu à un atelier de recherche théâtrale. La Compagnie a jusqu’ici mené son travail de création au cours d’une itinérance dans des lieux de créations et de diffusions multiples, en Île-de-France et en régions.
- L’activité de la Compagnie :
- Le genévrier – Contes de Grimm, spectacle itinérant. Théâtre Gérard Philipe (Saint Denis),Sevran (Seine-Saint-Denis), villages du Beauvaisis (2001-2002) –
- La princesse morte, conte en vers d’Alexandre Pouchkine. Théâtre Dunois (Paris), décembre 2006, Festival Cornegidouille, printemps 2008 –
- Depuis octobre 2004, résidence à l’anis GRAS. L’errant des rangs.
- Novembre 2006 : L’errant des rangs, éloge de notre insoumission étape n° 4.
- À l’occasion des « Rencontres dans le pré » à l’anis GRAS elle crée Des rangées en sept 2006 et en avril 07, octobre 2007, Théâtre de l’Echangeur, Bagnolet, Festival FINOALLAFINEDELMONDO à Sienne (Italie) en septembre 08 –
- résidence au théâtre de l’Institut psychiatrique Marcel Rivière durant l’automne 2008 ainsi qu’au Théâtre du Hublot à Colombes au printemps 2009 sur son prochain projet : Dépassions, la course des perdus , adaptation libre de la tragédie d’Andromaque de Jean Racine.
- Projet en résidence à la Métive :
- Printemps 2004
- Au tour de la terre – Mortroux
- La compagnie Le Dythirambe, avec Catherine Vallon, metteur en scène, a sillonné le département en quête de souvenirs d’enfance scolaire, pour l’écriture de son prochain spectacle, avec la comédienne Elisabeth Doll.
- L’errant des rangs
- est né d’un désir de questionner notre être social et notre place dans la société en lien, en écho avec notre place à l’école, alors que nous étions enfants. Cela nous a conduit à interroger nos rapports à la limite, au cadre, à l’autorité, à la frontière et ce qui hors du bord s’échappe. Notre sujet s’enracine dans l’enfance et s’intéresse à cette expérience commune qui est l’école et l’apprentissage scolaire : nous voulons interroger les empreintes que nous a laissées l’école, retourner sur les traces des drames oubliés ceux d’une histoire échappée, au fil des réminiscences.
- Nous voudrions approcher l’enfance inconnue, insolite, celle de « l’échappée », être sauvage errant hors des rangs, le reconnaître en nous dans son invisible et obscure présence… Regarder le monde à travers le prisme de l’enfance, en nous plaçant dans l’inconnu du connu, comme une manière de se désapproprier l’approprié… De reconnaître ce qui naît, ce qui vient comme l’irréductiblement « autre ».