RÉSIDENCE THÉÂTRE
Cie Construire un Feu, Construire un feu – du 1er au 30 avril 2018
Sortie de résidence : mercredi 25 avril à 18h30, à la Métive.
Tout public – Entrée libre. Construire un Feu est une nouvelle de Jack London. Elle raconte la terrible lutte d’un homme contre un froid épouvantable. Nous sommes sur le Yukon gelé, grand nord Canadien.
À la charnière entre XIXème et XXème siècle. L’homme – apparemment insensible à la nature qui l’entoure – doit rejoindre un camp où se trouve ses amis chercheurs d’or mais, contre toute indication, il fait un détour. Il est seul avec son chien. Il fait presque soixante degrés en dessous de zéro… Quand il se trempe la jambe en perçant une couche de glace, il sait qu’il ne lui reste que quelques minutes avant que l’eau ne gèle complètement son pied et ne l’empêche de rentrer au camp… Il va devoir construire un feu, et vite.
Ce qui marque l’esprit, c’est la précision avec laquelle London nous plonge au cœur ducombat. Il nous raconte les moindres sensations de l’homme, comment est-ce qu’il en vient à perdre le toucher, progressivement, puis la sensation de ses jambes, le sang qui recule dans ses veines… Il nous détaille toutes ses petites erreurs qui le conduiront à l’impasse. Le récit est littéralement glaçant. Et alors que nous sommes plongés au cœur de tous ces détails, il nous apparait soudain comme une dimension universelle et philosophique.
Pourquoi l’homme se retrouve-t-il dans une telle impasse ?
L’impitoyable récit devient une serrure dont Jack London nous donne la clé : C’est qu’il manque d’imagination…
Tout public – Entrée libre. Construire un Feu est une nouvelle de Jack London. Elle raconte la terrible lutte d’un homme contre un froid épouvantable. Nous sommes sur le Yukon gelé, grand nord Canadien.
À la charnière entre XIXème et XXème siècle. L’homme – apparemment insensible à la nature qui l’entoure – doit rejoindre un camp où se trouve ses amis chercheurs d’or mais, contre toute indication, il fait un détour. Il est seul avec son chien. Il fait presque soixante degrés en dessous de zéro… Quand il se trempe la jambe en perçant une couche de glace, il sait qu’il ne lui reste que quelques minutes avant que l’eau ne gèle complètement son pied et ne l’empêche de rentrer au camp… Il va devoir construire un feu, et vite.
Ce qui marque l’esprit, c’est la précision avec laquelle London nous plonge au cœur ducombat. Il nous raconte les moindres sensations de l’homme, comment est-ce qu’il en vient à perdre le toucher, progressivement, puis la sensation de ses jambes, le sang qui recule dans ses veines… Il nous détaille toutes ses petites erreurs qui le conduiront à l’impasse. Le récit est littéralement glaçant. Et alors que nous sommes plongés au cœur de tous ces détails, il nous apparait soudain comme une dimension universelle et philosophique.
Pourquoi l’homme se retrouve-t-il dans une telle impasse ?
L’impitoyable récit devient une serrure dont Jack London nous donne la clé : C’est qu’il manque d’imagination…
Ce projet est accueilli grâce au soutien de l’OARA – Office Artistique de la Région Nouvelle-Aquitaine.