Journées européennes du patrimoine ::: visite de la Métive ::: ouverture d’ateliers d’artistes
samedi 19 septembre à 14:00 à 18:00
À l’occasion des journées européennes du patrimoine, La Métive propose une visite du lieu de résidence internationale de création artistique situé dans l’ancien moulin de l’Abbaye de Moutier d’Ahun et ouverture d’ateliers des artistes en résidence
Plusieurs artistes seront présents pour présenter leur travail dans le lieu : Corentin Le Flohic, Coline Gaulot, Marianne Vieulès.
Sur entrée libre.
Corentin Le Flohic – Studio de danse – installation et interventions
INCRUSTE_XTASE Je suis desolee – Corentin Le Flohic
Danse Chant Vidéo – Travail en cours
INCRUSTE_XTASE Je suis desolee est un projet de synthèse délirante et délicate, qui vise à mettre en perspective ce qui est là et ce qui est ailleurs. Dans une installation audiovisuelle entre plateau de tournage, banc de montage et jour de fête, un interprète régisseur cherche à y assembler du geste, du son, du texte et de l’image, alternant entre conscience, (in)vraisemblance et accident.
Installation au studio de danse, ponctuée de 3 interventions à 14h30, 16h et 17h30.
Coline Gaulot – Studio – peinture et installations
Marianne Vieulès – Studio – arts numériques et poésie
Jeune artiste diplômée de l’École européenne supérieure de l’image de Poitiers, Marianne Vieulès travaille la narration comme matériau à part entière, entremêlant écriture sans écriture, installation, électronique, programmation et vidéo. Sa pratique d’écriture consiste souvent à amasser des éléments, indices, objets, textes et à les assembler pour créer des occurrences.
A travers ses histoires elle tente d’aller dans l’espace, de révolutionner internet et de réhabiliter les femmes ayant participé à l’histoire de l’informatique.
Lors de sa résidence à la Métive elle compte approfondir Now, beloved family, I stop writing; un essai pour situer la naissance de l’informatique dans l’histoire de la Littérature écrit en partie par deux intelligences artificielles, chacune nourrie respectivement par les textes de Ada Lovelace et Lord Byron. Elles esquissent une discussion qui n’a jamais eu lieu de leurs vivants, entre le·la premier·e programmeur·euse de l’Histoire de l’informatique et son père, le poète romantique anglais.